Identifier les leviers d’attraction qui permettent aux entreprises d’attirer les nouveaux talents

Les jeunes d’aujourd’hui sont à la recherche de flexibilité accrue dans leur travail, que ce soit dans leurs horaires, leur environnement ou leur package salarial. C’est un des enseignements qui ressort de l’enquête* de la Fédération des entreprises belges (FEB), en collaboration avec AG et réalisée par iVox en juin et juillet derniers. L’objectif est d’analyser les préoccupations des jeunes et des employeurs par rapport au marché du travail et de détecter les points sur lesquels ils ne sont pas nécessairement sur la même longueur d’onde. En somme : mieux les comprendre pour s’adapter… et leur proposer de meilleures réponses afin de combler leurs attentes.

Mieux comprendre les préoccupations des jeunes qui arrivent ou sont en passe d’arriver sur le marché de l’emploi : un enjeu crucial pour les entreprises touchées par la guerre des talents. Et AG, leader sur le marché de l’assurance en Belgique, ne fait pas exception à la règle. Elle est l’un des plus grands employeurs de la capitale et constamment à la recherche de nouveaux employés, dans des métiers liés ou non à l’assurance. Ainsi, plus de 270 nouveaux collaborateurs ont déjà rejoint la compagnie depuis le début de l’année… et ils devraient encore être des dizaines d’ici fin décembre, si on se réfère à tous les postes encore vacants, que ce soit en marketing, IT, conseil juridique ou gestion de sinistres.

Fait remarquable : depuis début 2022, 49 % des nouveaux collaborateurs engagés chez AG ont moins de 30 ans. C’est dire si l’entreprise est particulièrement sensible aux jeunes, à leurs attentes et à leurs préoccupations.

Jan Heyvaert, Chief Human Resources & Sustainability Officer chez AG : « C’est très important pour nous de nous associer à l’enquête ‘Bridging the future’ de la FEB : en détectant et en analysant les préoccupations actuelles des jeunes qui feront l’entreprise de demain, on peut en tant qu’employeur adapter notre plan d’actions pour faciliter les recrutements. Et identifier les leviers d’attraction pour attirer les nouveaux talents. Notre philosophie est simple : nous les engageons non pas pour un job, mais pour une carrière. C’est d’ailleurs dans cet esprit que notre tout nouvel AG Campus est né : un endroit où les jeunes engagés (comme les moins jeunes) pourront continuer à apprendre et à se former tout au long de leur carrière ».

Un aspect très important, car l’enquête a démontré que 84 % des jeunes interrogés déclarent envisager un apprentissage sur le lieu de travail.

S’il doit tirer un enseignement global de l’enquête, Jan Heyvaert est à la fois réaliste et optimiste : « Cela n'aura échappé à personne que nous sommes dans une guerre permanente des talents et que certains profils sont de plus en plus difficiles à recruter. L'enquête menée par la FEB montre que les jeunes ont une idée précise de ce qu'ils attendent de leur employeur et qu'ils mettent tous les éléments dans la balance. En tant qu'employeur, on ne peut plus se contenter d'être fort et compétitif sur un ou deux aspects liés au travail. On doit être capable d'offrir à la fois un environnement de travail stimulant, des possibilités pour grandir et continuer à apprendre, un package salarial attractif et personnalisé et des jobs qui ont du sens, avec une plus-value. In fine, les employeurs se réinventent constamment, ce qui sert non seulement le recrutement des profils plus 'jeunes', mais aussi leur rétention ». 

Consultez le communiqué de presse complet sur le site de la FEB, ainsi que tous les résultats de l’enquête ‘Bridging the future’.

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*L’enquête en ligne a été menée, à la demande de la FEB, par le bureau d’études iVOX auprès de deux groupes cibles :

• Entre le 1er juin et le 4 juillet 2022, auprès de 800 jeunes âgés de 18 à 28 ans (les élèves du secondaire ont été exclus), représentatifs en termes de sexe, de langue, d’âge et de diplôme. La marge d’erreur maximale pour 800 jeunes s’élève à 3,39%.
• Entre le 1er juin et le 18 juin 2022, auprès de 195 employeurs via la base de données de la FEB. La marge d’erreur maximale pour 195 employeurs s’élève à 6,98%.