Les assurances de groupe AG offrent encore de beaux rendements

Malgré des conditions de marché compliquées, AG reste en mesure d'offrir à ses entreprises clientes et à leurs collaborateurs de bons rendements, et ce, tant en branche 21 qu'en branche 23. 
 

Assurances de groupe de la branche 21 : sécurité pour l'employeur

Plus de 90 % des réserves des assurances de groupe sont investies dans des produits de la branche 21. Malgré la faiblesse des taux d'intérêt, la plupart des employeurs restent fidèles à ce type de produit. Cette fidélité s'explique par la sécurité de son rendement minimal garanti qui, en fonction du résultat des placements de l'assureur, peut être complété par une participation bénéficiaire.

C'est également le cas pour 2020 chez AG : les assurances de groupe avec garantie sur les réserves accumulées bénéficient d'un rendement total minimal (garanti + participation bénéficiaire) de 2,00 % net pour 2020.
 
Ce résultat excède clairement le rendement minimal de 1,75 % que les employeurs doivent offrir à leurs collaborateurs sur les versements réalisés dans l'assurance de groupe conformément à la Loi sur les Pensions Complémentaires (LPC).
 

Tranquillité d'esprit pour les années à venir  

Cependant, AG est le seul acteur du marché à aller plus loin. Comme les années précédentes, AG a déjà constitué les provisions nécessaires pour les années à venir. En d'autres termes, ses clients en branche 21 peuvent dormir sur leurs deux oreilles pour 2021 et 2022.
 

Benoit Halbart, directeur Employee Benefits & Health Care : 
« Nous sommes le seul assureur qui annonce un rendement minimal à l'avance. Nous investissons en effet dans des titres conservateurs mais aussi dans des obligations d'entreprise, des actions, de l'immobilier, des prêts d'infrastructure, etc. Cette diversification génère un bon rendement et offre à nos clients une tranquillité d’esprit, tant aujourd'hui que pour les années à venir. »

 

Assurances de groupe de la branche 23 : un rendement potentiel plus élevé

Néanmoins, la persistance de la faiblesse des taux d'intérêt suscite un regain d'intérêt pour les produits de la branche 23, dont le rendement est lié à la performance des fonds sous-jacents. Avec une part de marché de 41 %, AG est également leader de ce marché.
 

Benoit Halbart: 
« Dans le contexte actuel, la branche 23 est certainement une bonne formule si, en tant qu'entreprise, vous tolérez la volatilité de ces produits. Pour éviter toute surprise, les employeurs ont tout intérêt à choisir une combinaison de placements équilibrée ou à prévoir une sécurité supplémentaire. »

Pour ne citer qu'un exemple, notre fonds Rainbow Green, qui maintient un ratio 50/50 entre les actions et les obligations, a chuté de 8,91 % en mars 2020... mais il a terminé l'année sur une plus-value de 6,40 %.

 

Un rendement garanti moins élevé

En ce qui concerne le rendement des versements effectués par le passé dans une assurance de groupe de la branche 21, Benoit Halbart est formel : AG a toujours rigoureusement couvert toutes les garanties de rendement par des actifs à revenu fixe (principalement des obligations d'État et d'entreprises), et ce, à des taux d'intérêt et des durées appropriés. 

Pour les nouvelles obligations au niveau des pensions, AG se doit de faire correspondre les garanties offertes avec les rendements actuellement proposés sur le marché. Compte tenu de la baisse persistante des marchés obligataires, AG est donc contrainte de réduire le rendement garanti de ces nouvelles obligations : il passera de 0,50 % à 0,25 % à partir du 1er juillet 2021. 
 

Benoit Halbart: 
« Pour nos clients de la branche 21, il n'y a toutefois pas de quoi s'inquiéter. Nous leur offrons de toute façon un beau rendement total minimal au moins jusque fin 2022. S'ils veulent viser un rendement plus élevé, et s'ils acceptent de prendre un peu plus de risques pour l'obtenir, ils peuvent envisager de passer à la branche 23. Mais rien ne presse, ils ont tout le temps d'y réfléchir. 
Je pense qu'un basculement radical vers la branche 23 est encore inenvisageable pour la plupart des entreprises. Mais nous pouvons parfaitement proposer des solutions intermédiaires dans lesquelles nous investissons une partie des primes dans chaque branche. Quoi qu'il en soit, le choix revient aux clients. Nous ne les pousserons jamais dans un sens ou dans l'autre. »

Découvrez ici l’interview de Benoit Halbart dans L'Écho