1 Belge sur 5 sera atteint d'un cancer de la peau

Les statistiques [1] font froid dans le dos : un Belge sur cinq souffrira d'un cancer de la peau avant l'âge de 75 ans, principalement en raison d'une exposition trop importante aux rayons UV. Malgré ces chiffres inquiétants, qui ne cessent d'augmenter d'année en année, on constate que les Belges se protègent encore beaucoup trop peu avec de la crème solaire. L'enquête menée par AG Insurance auprès de 1.000 Belges révèle que près de la moitié d'entre eux (46 %) n'en mettent pas assez. Pire encore : 1 personne sur 8 (13 %) n'en utilise jamais. Il y a donc du pain sur la planche pour y remédier. 

« La prévention et la sensibilisation restent indispensables. C'est pourquoi AG Insurance installe cet été des distributeurs de crème intelligents dans les villes côtières, les parcs d'attractions et les festivals de musique », explique Rob Maes, Director Corporate Marketing d'AG Insurance. 

L'été, c'est la saison des sorties à la mer et des excursions au soleil. Et dans ce cas, il ne faut pas oublier d'emporter de la crème solaire.  En effet, le soleil est nocif : toute exposition aux rayons UV endommage notre ADN. Il est donc primordial de bien se protéger. 

Malheureusement, près de la moitié des Belges (46 %) déclarent ne pas mettre assez souvent de crème solaire (33 %), voire ne jamais en appliquer (13 %). Les raisons : on oublie d'en mettre (51 %), on oublie d'en emporter (32 %) ou on n'aime pas cette sensation collante (30%).

Autre chiffre marquant : les hommes sont nettement plus nombreux que les femmes à ne jamais mettre de crème (18 % des hommes contre 8 % des femmes). On constate que beaucoup plus de jeunes et de personnes plus âgées déclarent ne jamais utiliser de crème solaire : environ 20 % de la génération Z (18-23 ans) et des baby-boomers (+69 ans) n'appliquent jamais de crème. La moyenne est de 10 % parmi la génération Y (24-39 ans), la génération pragmatique (40-53 ans) et la génération X (54-68 ans). 

Des chiffres inquiétants, selon Rob Maes, d'AG Insurance : 

« Notre étude montre que les Belges, aujourd'hui, sont encore trop peu conscients des risques que peut présenter le soleil. Le fait que les hommes et les jeunes aient moins tendance à mettre de la crème est inquiétant. En effet, le cancer de la peau ne fait pas de distinction de sexe ou d'âge : il peut toucher n'importe qui. Pourtant, il n'est pas si difficile de se protéger. Quelques conseils simples vous permettront de profiter du soleil en toute sécurité. Ce n'est pourtant pas compliqué : « Restez à l'ombre, mettez des vêtements couvrants, enduisez-vous de crème ». Évitez le soleil entre midi et 15 heures, protégez-vous avec des vêtements, un chapeau et des lunettes, et appliquez de l'indice 30 au moins toutes les deux heures. »

Mettre de la crème toutes les deux heures ? Peu de Belges le font. 
Pour ceux qui passent du temps à l'extérieur quand le soleil brille [2] et qui ne peuvent pas se protéger en cherchant de l'ombre ou en portant des vêtements protecteurs, il est recommandé de s'appliquer de la crème solaire toutes les deux heures, selon les conseils de la Fondation contre le cancer. Cependant, cette fréquence est rarement respectée par nos compatriotes, et varie beaucoup en fonction des activités pratiquées. 

Pendant les vacances à la plage, 36 % des personnes interrogées déclarent mettre de la crème au moins toutes les deux heures. L'enquête d'AG révèle que seul un peu plus d'un Belge sur trois suit ces conseils lorsqu'il est en vacances. D'autres activités affichent quant à elles des résultats bien pires. En effet, lors des randonnées, ce pourcentage tombe à 16 % et pour les vacances au ski, il est d'à peine 7 %.

Le taux de Belges mettant de la crème toutes les deux heures est limité lors d'autres activités : excursion d'une journée (15 %), jardinage (12 %), en terrasse (11 %), en festival (10 %) ou lors d'une journée ensoleillée tout simplement à la maison (9 %). 

Un parent sur quatre ne met pas assez de crème à ses enfants
Les enfants n'ont pas encore le réflexe d'appliquer de la crème solaire. Pourtant, leur peau est particulièrement vulnérable. Malheureusement, près d'un parent sur quatre (environ 23 %) déclare ne pas mettre suffisamment de crème solaire à ses enfants (16,3 %) ou ne jamais le faire (6,4 %). 

Pourquoi pas ? Près d'un tiers (30 %) des parents indiquent qu'ils ne le font pas parce que leurs enfants n'aiment pas cela. D'autres motifs évoqués : l'oubli (24 %) ou le fait que crème solaire est trop collante (16 %). 

AG sensibilise le public en proposant de la crème solaire gratuite
Sur la base de ces résultats, AG renforce ses efforts de sensibilisation. En collaboration avec Sundo, l'entreprise lance une série d'actions visant à sensibiliser les Belges aux risques d'une exposition prolongée au soleil et à les encourager à mettre plus souvent de la crème pour mieux se protéger des effets négatifs des rayons UV. Grâce à des distributeurs intelligents, AG offre aux visiteurs une protection solaire gratuite aux moments et aux endroits ad hoc : à la côte, lors des festivals d'été ou dans les parcs d'attractions.

« En tant qu'assureur de premier plan, la santé de nos clients et, par extension, de tous les Belges, nous tient à cœur. Nous considérons donc qu'il est de notre devoir de contribuer à la sensibilisation au cancer de la peau. En tant que partenaire de longue date de la Fondation contre le cancer, il est naturel pour nous de faire campagne à ce sujet » - Heidi Delobelle, CEO d'AG.

Ces distributeurs intelligents donnent aux gens des conseils personnalisés en direct en fonction de l'intensité du soleil, tout en offrant gratuitement de la crème solaire avec un indice de protection SPF de 30 à 50.

[1] Fondation contre le cancer : https://cancer.be/ressource/explosion-des-cancers-de-la-peau-oui-mais-lesquels/ 

[2] Fondation contre le Cancer : à partir d'un indice UV de 3, même par temps nuageux

Méthodologie
Enquête en ligne réalisée par le bureau d'étude iVOX pour le compte d'AG Insurance entre le 29 mars 2024 et le 12 avril 2024 auprès de 1.000 Belges représentatifs par la langue, le sexe, l'âge et le diplôme. La marge d'erreur maximale sur 1.000 Belges est de 3,02 %.