Innovation 27/08/2015

Un concept novateur pour les assurances omnium

En assurances, il ne s’agit pas uniquement de proposer au client la couverture la plus large. Aujourd’hui, ce dernier est plus exigeant : il souhaite savoir exactement ce qui est couvert… et ce qui ne l’est pas. AG Insurance tient non seulement à assurer ses clients au mieux, mais aussi à leur proposer une couverture simple et compréhensible. Le concept « Tous les risques, sauf… » s’avère dès lors particulièrement avantageux. Après l’avoir déjà appliqué dans son assurance habitation, AG Insurance l’intègre désormais dans ses assurances omnium. 




En petits caractères


Les conditions classiques des contrats d’assurances énumèrent de manière détaillée l’étendue de la couverture et les dommages exclus. Le résultat est bien souvent un contrat de plusieurs dizaines de pages décrivant très précisément la couverture et les exclusions, et ce, dans un langage juridique souvent incompréhensible pour le client lambda.  Cette approche classique (« ce qui est écrit en petits caractères ») est non seulement complexe, mais elle implique aussi que le client, en cas de sinistre, doit prouver lui-même que le dommage dont il est victime est couvert. Dans la plupart des cas, cela ne pose aucun problème. Toutefois, si la cause du sinistre n’est pas claire ou difficilement décelable, le client peut rencontrer quelques difficultés. Dans le pire des cas, il n’aura même pas droit à une indemnisation.



La notion d’accident disparaît


Le concept « Tous les risques, sauf… » se base sur une optique plus moderne et plus avantageuse pour le client : tous les risques susceptibles d’endommager les biens assurés sont couverts, sauf ceux explicitement exclus. Résultat : un texte bien plus court, plus clair et plus simple.


Koen Verdoodt, Product Manager assurances auto : « Les anciennes conditions stipulaient explicitement que le dommage devait découler d’un accident. Cependant, dans certains cas, cette notion pouvait être sujette à interprétation. Se tromper de carburant était-il considéré comme un accident ? Et qu’en est-il des griffes dans la carrosserie après un nettoyage peu soigneux de la voiture ? La notion d’« accident » a disparu du nouveau texte. Dès lors, ce type de dommages sera désormais couvert par l’assurance omnium. »


En outre, grâce à cette approche, le client ne doit plus prouver que le dommage subi est couvert. Si l’assureur souhaite invoquer une non-couverture du dommage, il devra prouver lui-même que le dommage fait partie de la liste limitée d’exclusions : un avantage clair pour le client.      



Des assurances omnium plus larges


Quelles sont les implications concrètes pour les nouvelles Top Omnium et Top Occasium ? En bref, tous les dommages au véhicule assuré seront en principe couverts, sauf s’ils font partie des 4 formes de dommages clairement décrites. Il s’agit de formes de dommages logiques, comme la corrosion, les défauts techniques… des frais qui font partie de l’entretien normal du véhicule.
Désormais, seuls les dommages suivants ne seront plus couverts :
• les dommages résultant de l'exposition à des facteurs agissant lentement tels que l’oxydation, la décoloration et l’altération de la peinture… ;
• les dommages causés à des pièces par suite d’un vice de construction, d’usure, d’un manque manifeste d’entretien ou d’un usage du véhicule non conforme aux prescriptions du constructeur ;
• les frais d'entretien et les frais de réparation résultant d'un défaut technique ;
• les dommages causés ou aggravés par les animaux et les objets transportés ou par une surcharge.
Petite précision : les conditions spécifiques du contrat, telles que la franchise choisie ou les pourcentages de dégressivité en cas de perte totale, restent bien entendu applicables.



Sangliers et fouines 


« Collision avec un animal » fait partie des garanties couvertes en Multirisques (une formule que l’on appelle souvent « la petite omnium »). Jusqu’à présent, dans ce type de contrat, seuls les dommages directs causés par une collision avec un cerf ou un sanglier étaient en règle générale couverts, contrairement aux dommages consécutifs. Ainsi, si le conducteur heurtait un arbre avec l’arrière de son véhicule après être entré en collision avec un sanglier, les dommages dus à la collision avec l’arbre n’étaient pas couverts.


Koen Verdoodt: « AG Insurance est le premier assureur à intervenir pour les dommages consécutifs à une collision avec du grand gibier ou du gros bétail. Ces dernières années, les populations de cervidés, de sangliers, etc. ont fortement augmenté. Nous constatons dès lors une augmentation du nombre d’accidents avec du gibier. Dans ce contexte, nous offrons à nos clients une sécurité supplémentaire non négligeable. »   


Dans la même catégorie de risques liés aux animaux, AG Insurance a apporté une deuxième amélioration : les dommages causés au câblage, aux durites et à l’isolation par une fouine ou un autre animal sont désormais couverts.


Koen Verdoodt: « Ici aussi, nous constatons que ce phénomène est de plus en plus courant, même s’il est concentré dans certaines régions. Je suis persuadé que les habitants de ces zones se réjouiront de cette nouveauté. » 


     
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